PRÉSENTATION DE L’ASSOCIATION

Qui sommes-nous ?

Histoire de La Brouette & Le Panier

L’association a été créée en 2008 à l’initiative d’un collectif de parents de Taninges, autour d’un projet de jardin familial sur une parcelle communale. C’est le début d’un projet plus large basé sur nos modes d’alimentation.

Le jardin voit le jour en 2009 grâce au financement de la Région, c’est également à cette période qu’est créée la COOP’, avec ses premiers bons de commande en papier.

En 2016, l’association rejoint le collectif Giffre en Transition qui c’est donné pour mission d’oeuvrer à une transition écologique, sociale, démocratique et humaine dans la vallée.

Le groupe Cuisine se constitue en 2018.


Organisation de l’association

Aujourd’hui l’association La Brouette et le Panier compte 6 groupes de travail.

Les 6 groupes qui constituent l’association

Les 5 valeurs de l’association

1
Promouvoir les productions locales :
pensez global MAIS agir local !

En favorisant les partenariats avec les producteurs locaux, nous souhaitons soutenir l’économie locale et le monde agricole mais également limiter l’impact des transports et réduire notre consommation d’énergie.

2
décider de son alimentation, promouvoir le “faire soi-même”

En choisissant nous-mêmes des producteurs de confiance, et en créant des « circuits-courts », nous souhaitons nous affranchir des intermédiaires qui fixent leurs prix et leurs marges. Ainsi nous ne participons pas à la spéculation qui s’exerce sur certaines denrées alimentaires et nous cherchons le prix “juste” autant pour le consom’acteur que pour le vendeur. 

En encourageant les échanges entre jardiniers de la vallée et des environs, nous favorisons l’échange libre des semences, afin de conserver la biodiversité alimentaire cultivée. Nous cherchons également à adapter nos semences et nos végétaux aux changements climatiques. 

En créant des activités autour de la ferme, de la cuisine et des jardins partagés, nous encourageons les habitants à se réapproprier des savoirs et savoir-faire parfois ancestraux et de les transmettre à leur tour. Nous espérons leur donner le goût de cultiver leur propre jardin, de transformer des aliments de base pour la cuisine ou la conservation. Nous privilégions également la mutualisation pour certains achats onéreux, et favorisons les conditions de l’entraide et la solidarité pour faire face à l’adversité. 

3
Faire le choix de la qualité

Nous sommes convaincus que bien manger reste le début de la santé, mais comment, en tant que consommateur, arriver à juger de la bonne qualité d’un produit alimentaire ? Quels critères retenir ? L’esthétisme, le mode de production, le goût, le label lorsqu’il existe ? Une belle pomme ayant subi 28 traitements chimiques est-elle encore une bonne pomme ?

Pour garantir la qualité globale des produits distribués via la Coop’, nous sommes vigilant à établir une relation de confiance avec les producteurs, éleveurs locaux…labellisés ou non, qui partagent avec nous en toute transparence leur modes de production. Des visites régulières sont organisées pour les adhérents sur les lieux de production. 

4
des pratiques respectueuses de l’environnement

Que se soit au jardin, dans le panier ou dans les ateliers cuisines, nous établissons avec les producteurs, les jardiniers, des chartes de bonnes pratiques qui intègrent la dimension environnementale (méthode de travail de la terre, non usage de produits chimiques…)

5
Respect des hommes et de l’animal

Dans le cadre de la COOP’, les producteurs décident eux-mêmes des prix qu’ils souhaitent appliquer, nous ne « négocions » pas des prix de groupe. Nous souhaiterions que chacun des producteurs partenaires puissent vivre décemment et fièrement de son travail. 

Nous échangeons régulièrement et fréquemment pour mieux comprendre d’un côté les problématiques liées à la production du vivant et de l’autre les préoccupations et attentes des consommateurs engagés. Ils nous arrivent également de soutenir des producteurs en difficultés (aide à la ferme, petit soutient morale ou financier)